Voyantes et Médiums purs : les intermédiaires de notre avenir
Le mot « médium » vient du mot latin « moyen » et décrit parfaitement ce qu’est un médium. En effet, le médium est un homme ou une femme qui sert d’intermédiaire entre notre monde et celui de l’au-delà. Les médiums purs ainsi que les voyants purs consultent leurs guides spirituels pour se connecter avec ce monde et le prochain. Ils ont la capacité de se connecter au monde des esprits, de recevoir et de transmettre des messages à partir des entités vivants dans ce monde.
Il existe trois principaux types de médiumnité : le médium en transe, le médium physique et le médium mental.
Le médium pur en transe est souvent inconscient des messages qui passent à travers lui. De ce fait, il ne peut évidemment pas donner de consultation de voyance par téléphone.
Le médium physique est un spécialiste de la manipulation des systèmes énergétiques. Ainsi, il peut par exemple, reconnaître et éliminer les blocages dans votre champ d’énergie qui vous empêche d’atteindre certains objectifs de carrière ou privés. Les médiums physiques peuvent communiquer à distance.
Le médium mental voit, entend, et/ou sent les informations données par les esprits. C’est la forme de médiumnité la plus couramment pratiquée, sans doute parce qu’il présente de nombreux avantages pour le consultant en voyance.
La question qui se pose dès lors est de savoir pourquoi on voudrait communiquer avec le monde des esprits ?
Eh bien, il arrive que ceux qui ont vécu la triste expérience de perdre un être cher s’interrogent sur leur bien-être. Certaines personnes aimeraient échanger des conversations pour lesquelles ils n’ont pas eu le temps ou l’occasion alors que la personne en question était encore en vie. Recourir à un médium pur peut vous donner l’assurance que vous recherchez. Gardez cependant à l’esprit qu’une voyante vous permet une sorte de conférence téléphonique avec vous et les esprits. Ainsi, il y a parfois ce moment de silence étrange alors que le médium est à l’écoute de la troisième partie.
