Le portrait astrologique de votre signe au féminin – Scorpion
La femme Scorpion est en général petite et maigre, avec une démarche nerveuse et précipitée. Le Scorpion au féminin se sent à l’aise dans tous les métiers où l’on doit utiliser sa salive : de la vente à la criée au porte à porte, de l’enseignement à la politique, de l’action syndicale à la presse parlée, le choix est vaste. C’est pourquoi la native se sent très peu concernée personnellement par le problème du chômage.
Bien que sa capacité d’adaptation soit grande, la femme Scorpion ne déteste rien tant qu’un travail de routine, avec des heures fixes et à l’écart d’une clientèle ou d’une assemblée. Ce n’est pas non plus une femme d’intérieur, car la monotonie des tâches ménagères peut la déprimer et l’irriter. Elle connaît parfois de beaux succès professionnels grâce à son pouvoir de persuasion. Elle convainc sans grande peine ses interlocuteurs. Ses arguments, cependant, ne sont pas toujours objectivement valables.
La femme Scorpion peut être intéressante, mais les hommes ne la trouvent pas assez « femelle » et hésitent à lui faire la cour. S’ils recherchent sa compagnie, c’est parce qu’elle est gaie, primesautière, ayant peu de complexes et de susceptibilités. Ils l’acceptent volontiers comme « copine », sans plus. La coquetterie s’inscrit bien dans la liste de ses habitudes ; elle a tendance à forcer son maquillage, peut-être dans le souci inconscient de compenser sa nature peu pourvue de charmes féminins.
Un peu autoritaire et tenant à son indépendance comme à la prunelle de ses yeux, elle répond mal aux normes bourgeoises de bonne épouse et de bonne mère. Elle peut être maternelle et s’occupe décemment de ses enfants à condition qu’ils soient beaux, intelligents et dynamiques. Son mari n’aurait jamais intérêt à lui imposer une façon de vivre quelconque, car toute contrainte la rebute. Elle ne conçoit pas le mariage conventionnel comme la meilleure solution de vie pour la femme ou pour l’homme. C’est pourquoi elle peut facilement opter pour le célibat ou l’union libre. Elle peut aussi accepter le divorce sans larmes ni pincements au cœur, se moquant éperdument du qu’en-dira-t-on. Mais c’est souvent à partir de la cinquantaine que la femme Scorpion seule commence à sentir le poids de la solitude et à souhaiter l’union avec un homme gentil et tolérant. C’est au troisième âge qu’elle a plus de chance de réaliser le bonheur conjugal.
Très sensible à la flatterie et plus sensible encore aux critiques, elle a un besoin énorme de compliments et d’applaudissements. Pour peu qu’on satisfasse ce besoin, elle est capable de soulever les montagnes et de se dévouer corps et âme ; elle fait alors preuve d’une efficacité exceptionnelle.